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KHALIL ADIL - 18 ans

  • sytounmcef
  • 7 nov. 2021
  • 12 min de lecture

Parce que c’est lorsqu’on est en plein dans la fleur de l’âge qu’on se construit, qu’on choisit la voie qui impactera le reste de notre existence mais aussi parce qu’on dit que l’avenir est la jeunesse, voici quelques conseils fraternels que je tiens à donner aux nouvelles générations.

Juste avant de commencer, je vais demander à toutes celles et ceux qui me liront de mettre les émotions de côté car je vais – comme à mon habitude – dire beaucoup de choses qui ne plaisent pas mais qu’il est nécessaire de dire car, quoi qu’on en pense, ce n’est pas à nous de déterminer ce qui est vrai et faux et comment fonctionne la vie. Ceci étant dit, bonne lecture.

De ce qui m’a été donné de voir et de constater, la plupart des jeunes d’aujourd’hui (je sais que ça fait très « phrase de vieux » mais bon, un peu d’indulgence s’il vous plait) sont animés par de nobles convictions, comme l’envie de lutter et répandre la justice, la paix dans le monde, l’écologie, le respect des différences, le vivre-ensemble… et certains n’hésitent pas à s’engager dans l’associatif, à monter des projets, participer à des évènements, des manifestations… ce qui, en soi, est positif. On voit que beaucoup veulent aller de l’avant et sont prêts à agir. À mon sens, la jeunesse actuelle peut construire de grandes choses si elle arrive à travailler sur ses points faibles qui sont, de manière générale et de ce que j’ai pu constater, la perte de repère et l’ignorance due à une connaissance superficielle et biaisée du monde.

Beaucoup réfléchissent, malheureusement, à l’émotion et ont une vision à court terme.

Beaucoup ne réfléchissent pas en profondeur mais se limitent à l’aspect apparent des choses et n’ont pas la saine curiosité de se renseigner de manière approfondie sur les idéologies qu’on leur inculque à l’école qu’ils prennent parfois pour des vérités[1] sur le monde dans lequel ils vivent, comment fonctionne le système en réalité, entre le peu qu’il déclare et le gros qui se passe dans l’ombre…

Ce qui les rend très manipulables car beaucoup de criminels n’hésitent pas à instrumentaliser de nobles causes pour s’attirer la sympathie des jeunes qui, réagissant à l’émotion avec peu de connaissances, tombent dans le piège et, en dépit de leurs bonnes intentions, contribuent à servir la corruption.

Comme ceux qui votent, par exemple. En voulant bien faire, ils contribuent à entretenir la pérennité d’un système bâti sur de l’injustice. Alors qu’avant de chercher à s’impliquer en politique (dans le sens « s’impliquer dans la vie de la société »), il faut chercher à comprendre comment elle fonctionne, qui sont ceux qui dirigent, quelles sont leurs idéologie et qu’est-ce qu’elles impliquent… et toutes ces questions auxquelles il faut impérativement trouver les réponses avant d’agir.

Idem pour ceux qui instrumentalisent la cause des femmes battues, du viol, etc. (qui sont de vrais problèmes qu’il faut évidemment combattre) afin d’embrigader de bonnes personnes bienveillantes mais peu cultivées et conscientes de la réalité du monde dans lequel ils vivent dans certains mouvements féministes, anarchiques… dans lesquels on les convainc du bien-fondé et de la nécessité de lutter pour des causes immondes qu’on leur vend comme étant justes, comme tout ce qui est PMA, GPA[2], égalitarisme, infanticide de masse camouflé sous le nom de droit à l’avortement[3] etc. alors que toutes ces choses (et d’autres) font plus de mal que de bien si on les analyse en profondeur en mettant le sentimentalisme et la volonté de plaire de côté.

Beaucoup de jeunes soutiennent ces causes populaires avec une grande sincérité, une véritable envie de rendre justice aux opprimés, aux femmes battues, violées… sans être au courant de l’instrumentalisation de ces causes par des idéologues malveillants qui n’ont que faire de la dignité des femmes et du secours des opprimés. Comment un ministre sur lequel pèsent des plaintes pour viol, par exemple, peut-il oser venir s’ériger en parangon de la liberté de la femme ? Si l’indécence était du sucre, ce genre de personnage aurait certainement le diabète.

De manière générale, si j’ai un conseil à donner aux jeunes et moins jeunes qui me liront : ne prenez aucun engagement, ne soutenez aucune cause sans avoir bien réfléchi. Mettez le sentimentalisme et vos passions de côté car parfois, elles peuvent aveugler et pousser à commettre des atrocités sans même qu’on s’en rende compte. Prenez le temps d’analyser la situation, de lire, de vous renseigner, ne vous interdisez pas d’écouter ceux qu’on vous a présenté comme des méchants, des « islamistes », des « complotistes », ou autre chose en « iste » afin de vous faire votre propre opinion… et ensuite, quand vous aurez acquis un certain savoir, alors faites des choix, engagez-vous et servez la justice, une fois que vous aurez compris où elle se situe réellement.

Et pour commencer, il faut que la jeunesse retrouve le sens des priorités qui lui fait, hélas, défaut. Beaucoup sont malheureusement désorientés, voient utile le futile, dérisoire l’indispensable et ont une vision altérée de la réalité.

Beaucoup, par exemple, endoctrinés par le nihilisme, l’hédonisme, les idéologies des philosophes des « Lumières » et la mentalité libertaire de mai 68, estiment qu’on vit la meilleure époque parce qu’on nous invite à suivre nos passions, à casser les codes… alors qu’en réalité, si tout le monde suit ses passions sans limite, plus de guerres vont être déclarées en quelques heures que l’humanité n’en a connu au siècle dernier. D’ailleurs, on vit une époque inédite dans l’Histoire de l’humanité où le monde n’a jamais connu plus d’instabilité, d’insécurité et de de catastrophes humaines à tous les niveaux, des individus aux Etats en passant par la famille, les relations amicales et conjugales. Heureusement qu’il y a des codes pour équilibrer nos vies. Vouloir tous les casser revient à vouloir la perte de la race humaine.

Aussi, beaucoup sont athées, pas par conviction mais par paresse intellectuelle. Parce qu’ils ont adopté un mode de vie américanisé de consommateur jouisseur et forcément, se poser des questions d’une importance capitale comme la raison de notre présence sur Terre ne fait pas partie de leurs priorités. Pourtant, je le répète en espérant provoquer un déclic chez ceux qui le liront, c’est d’une importance incommensurable puisque c’est ce qui détermine TOUT le reste de nos vies à tous, sur le plan individuel comme collectif.

Malheureusement, la plupart des jeunes sont pris dans les engrenages du monde moderne qui nous a imposé d’autres priorités – pour le coup pas franchement prioritaires même si certaines ont leur importance – comme le fait d’avoir des diplômes, un bon travail, un bon rang social, beaucoup d’argent, la culture du buzz… et cette exécrable culture de l’égo qui poussent certains à s’inventer des vies et se prendre pour ce qu’ils ne sont pas (clin d’œil aux influenceurs, les stars d’Instagram, de YouTube ou de Tiktok).


Bonne transition pour parler d’un poison dont il faut absolument que les jeunes et les moins jeunes s’émancipent absolument : les influenceurs.

Ces gens qui, pour la plupart, ont une vie aussi intéressante que le pigeon qui vient dédicacer leur pare-brise d’une signature de la même matière que le contenu que ces débauchés produisent, mais que beaucoup prennent pour modèles. Entre les « moins pires » qui se contentent des vidéos drôles, Fifa, tuttos make-up… et les plus diaboliques qui utilisent leur notoriété pour inciter leur jeune public à entrer dans de dangereux engrenages, en faisant la promotion de l’alcool, de l’hypersualisation, des paris sportifs, du trading, de la débauche, de l’obscénité etc. quand on connait les conséquences de ces dangers. La plupart de ces influenceurs, Youtubeurs, rappeurs… qui font la promotion de ce genre de choses n’hésitent pas à accepter des partenariats avec certaines firmes et personnalités à l’éthique inexistante, montrant ainsi leur basse moralité et le fait qu’ils sont indignes de confiance.

Début 2021, par exemple, un politicien très impopulaire a fait appel à deux d’entre eux, très suivis (beaucoup ont compris de qui je parle) afin de redorer son image. Et comme l’ont très bien soulevé plusieurs analystes, il est clair que cette démarche du politicien avait pour but de séduire le public naïf et dépolitisé de ces influenceurs qui n’ont eu aucun scrupule à accepter de collaborer avec un homme ayant du sang sur les mains sous couvert du « c’est que du divertissement » à croire que le divertissement n’est pas un outil de propagande. C’est dans ce genre de situation qu’on comprend l’expression « vendre son âme au diable ».

Sans compter que beaucoup d’influenceurs n’hésitent pas à envoyer leur jeune public naïf au-devant de grands dangers tels que l’endettement, l’addiction avec les paris sportifs ou encore les humiliations sur le net avec toutes ces histoires de sexe et de photos déplacées…

Des histoires, on est nombreux à en connaitre. Certains en ont même déjà vécu. Entre les opérations chirurgicales esthétiques qui tournent mal, les humiliations qui finissent en cyber-harcèlement en partant des commentaires jusqu’aux vidéos virales, les photos de parties génitales qui fuitent… c’est consternant. Comment peut-on suivre et soutenir des gens d’aussi basse moralité, dépravés, égoïstes et superficiels que la plupart des influenceurs sur internet ?

Je parle en connaissance de cause pour être passé par là : la crise d’ado, les engrenages de la cité, l’anarchisme… j’ai eu, moi aussi, ma période d’insouciance. La culture hip-hop, les films de gangsters, l’envie d’être vu et connu, le délire SOS racisme, les combines sur internet…, j’ai grandi dedans et avec du recul, je me dis la même chose qu’un de nos anciens présidents : « quelle indignité ».

Plus sérieusement, ce n’est pas avec toutes ces influences nocives dans la tête qu’on peut aller de l’avant. Beaucoup de choses sont faites, dans les divertissements et ce qui rythme la vie de la jeunesse, pour flatter les pulsions, l’affect émotionnel, banaliser des choses immondes… et faire du jeune l’esclave de ses passions, de son groupe, et plus largement de la société du spectacle et de la consommation qu’on lui impose comme étant une fatalité alors que de bien plus forts empires ont chuté.

Enfin, dernier point, attention à l’effet de groupe qui joue un rôle dangereux, en particulier lorsqu’on est jeune. Quand on veut se faire un avis cohérent sur le monde, il faut savoir se détacher des autres, et plus largement de la pression sociale. Oser remettre en question et penser par soi-même, intelligemment, en mettant ses préjugés et ses sentiments de côté. Malheureusement, l’effet de groupe annihile totalement cette saine méthodologie. Très souvent, quand on est dans un groupe, on doit penser comme le groupe – au moins sur les grandes lignes, même si on tolère certaines différences – sous peine d’être condamné à la solitude. Et beaucoup de jeunes, en particulier au collège, au lycée et peut-être aussi en fac, ont une peur bleue de la solitude. Il leur faut des amis, ce qui est compréhensible. Mais là où ça pose un problème, c’est quand ça implique de faire des concessions sur soi, sur sa manière de réfléchir, de penser… pour plaire aux autres, pour s’intégrer. Une conviction doit se forger de manière indépendante et avec du savoir. On doit s’isoler, méditer, cogiter… pas adopter bêtement les idées de la famille ni celle des amis.


***


Pour conclure, les nouvelles générations peuvent construire de grandes choses si elles se libèrent de tous ces engrenages qui pourrissent le cerveau d’une bonne partie des jeunes et moins jeunes et les empêchent de penser intelligemment, de voir le monde et la vie d’une manière plus cohérente que ce mensonge que nous vend le système : sortir du ventre de nos mères, grandir, étudier, copuler, s’amuser, travailler, faire des gosses, vieillir, partir à la retraite et mourir.

Beaucoup sont tombés dans ces pièges mais j’insiste sur la jeunesse car bien que tout le monde puisse changer, il est plus facile de se remettre en question et d’avancer quand on a 18 ans que quand on en a 50.

Certains ont une position défaitiste mais en ce qui me concerne, je pense sincèrement que tout le monde, s’il veut, peut faire cette introspection salvatrice.

Si je l’ai faite, tout le monde peut le faire car je ne suis pas meilleur que les autres. Même si certains, en me lisant, ont pu penser que je me prenais pour ce type qui sait tout mieux que tout le monde, ce n’est pas du tout le cas. D’une part, parce que tout ce que je sais, je le dois à mon Créateur sans qui je ne suis rien. Ensuite, car si j’ai appris des choses, c’est parce que j’ai fait des efforts pour étudier et comprendre le monde qui m’entoure et me désendoctriner de toute la propagande moderniste qu’on m’a, à moi aussi, fait ingurgiter depuis l’enfance à travers les divertissements, les influenceurs néfastes et les programmes scolaires décidés, encore une fois, par des hommes ayant des idées, des objectifs à atteindre et des intérêts à défendre.

Au départ, j’étais un ado de la génération 90 comme les autres. Tout ce que j’ai dénoncé plus haut, je l’ai vécu et j’en parle en connaissance de cause. Seulement, à un moment, j’ai réalisé que ma vie de jouisseur consommateur sans repère américanisé n’avait aucun sens et que si j’étais sur Terre, c’était pour une raison. Alors je me suis isolé. J’ai cherché à comprendre où était ma place. Et j’ai fait un cheminement mental, spirituel… qui m’a permis d’aller de l’avant sur bien des points. Et aujourd’hui, même si tout n’est pas parfait, ma vie est beaucoup mieux. Je n’ai plus ce vide abyssal en moi, puisque je sais ce que je fais sur Terre depuis que j’ai pris le temps d’étudier l’Islam. Je précise, le véritable Islam sunnite orthodoxe de Muhammad – paix sur lui – et non ce mélange bizarre de suivi de passion, de comportement ordurier teinté de quelques traces d’Islam comme le fait de dire « Wallah », « hamdoullah » « starfoullah[4] », en s’abstenant de manger du cochon et en consommant de la viande halal[5] que beaucoup d’influenceurs soi-disant musulmans, de racailles d’une part et de pseudos musulmans modernes modérés d’autre part présentent comme étant l’Islam alors que ça n’a pas grand-chose à voir avec ce qu’on trouve dans le Coran et la tradition prophétique authentique. Mais passons.

J’ai appris à réfléchir de manière indépendante, en me donnant l’opportunité d’écouter tout le monde sans tabou, y compris ceux que je voyais (et vois encore, pour certains) comme des ennemis à abattre (idéologiquement), de trier le bien du mal, le vrai du faux en gardant à l’esprit que j’ai des connaissances limitées… et j’essaye d’aller de l’avant chaque jour. Sans que ça m’empêche de rigoler, de me détendre et de partir en vacances lorsqu’il le faut.

C’est cette voie que j’invite tous les jeunes de ma génération, et de celles qui sont venues après dans les années 2000, 2010 et bientôt 2020, à suivre, pour leur bien, avant tout. Je n’ai aucun autre intérêt ici-bas que celui de vivre un jour dans un monde plus sain. Et cet intérêt, on l’a tous plus ou moins. La seule chose qui manque à beaucoup, c’est de trouver comment y parvenir à coup sûr.

Si j’ai été dur dans mes paroles, ce n’est pas pour blesser qui que ce soit. Ne voyez pas en certains mots ou certaines tournures de phrase du mépris, de la condescendance ou une volonté de rabaisser mes semblables en humanité. Si je suis véhément dans ma manière d’écrire, c’est car moi-même, j’étais dans une léthargie intellectuelle pendant mon adolescence et encore un certain temps après avant d’être réveillé par des discours sans pincettes émanant de personnes bienveillantes qui estiment que si on veut le bien de quelqu’un, il faut lui dire ce qu’il a besoin d’entendre, et non ce qu’il a envie d’entendre.

Alors j’essaye de faire de même aujourd’hui, à travers ce petit texte, en espérant qu’il sera lu par des personnes de bonne volonté qui comprendront l’importance de cet appel à la réflexion et à la remise en question et essayeront de le mettre en pratique dans leur vie avant de le diffuser à leur tour.

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Extrait du recueil AGIR 5, disponible en téléchargement gratuit : https://khaliladilauteur.wixsite.com/website/librairie

et en impression papier à la demande (sytounmcef@gmail.com

[1] L’humanisme au sens philosophique du terme, les idées des philosophes des « Lumières » qu’on leur vend comme étant des génies ayant tout mieux compris que tout le monde depuis la création de l’humanité, le modernisme et l’idée selon laquelle notre société a atteint le summum de l’intelligence, du progrès, de l’avancée… [2]Sans trop rentrer dans les détails, il ne faut pas se limiter aux slogans et aux plaidoiries sentimentalistes de ceux qui défendent ces choses-là mais il faut les décrypter en profondeur, comprendre réellement de quoi on parle, ce que ça implique, dans quel contexte ça intervient et qui sont ceux qui sont derrière. Dans le cas de la GPA, par exemple, combien savent, par exemple, qu’en soutenant cela, ils contribuent à la pérennité de réseaux mafieux et du crime organisé dans des pays de ce qu’on appelle le « Tiers-monde » ? Car qui sont les « mères porteuses » ? Des femmes en bonne santé baignant dans le confort matériel de l’Occident ? Vous en connaissez beaucoup, sincèrement ? Ou des femmes précaires dans des pays sous-développés, vivant dans une telle misère qu’elles sont prêtes à de véritables sacrifices pour gagner un minimum leur vie ? Sans compter les mafieux qui ensuite utilisent ces femmes – à l’instar des proxénètes – pour leur faire faire le sale boulot, puis leur filer un pourcentage infime des gains. [3] Evidemment, dans certaines situations comme pour le cas d’un viol, par exemple, ça peut s’entendre. Mais il faut être honnête et reconnaitre que, dans notre contexte, la plupart de celles qui revendiquent ce « droit » de tuer un être vivant qu’elles déshumanisent n’est motivé que par de l’égoïsme, du suivi de passion débauché et une volonté de faire carrière dans un impitoyable système consumériste et mercantiliste qui n’accorde aucune considération à la vie humaine, malgré de beaux slogans mensongers. D’ailleurs, prenez juste un petit moment pour aller regarder à quoi ressemble un avortement : en bref, le médecin introduit une pince dans le vagin de la femme et arrache un à un les membres du fœtus, dépecé comme un animal. Et ensuite, ce sont souvent les mêmes qui s’offusquent de voir des poulets, des vaches et des cochons égorgés dans des abattoirs qu’on voit paradoxalement militer pour ce « droit ». [4]Qui, au passage, ne veut rien dire. Le véritable mot est « astaghfirAllah » qui signifie le fait de demander pardon au Créateur pour nos péchés donc difficilement compatible avec le fait de persister dans de la crasse qu’on étale au grand jour mais passons. [5] « Halal » certifié par des grandes mosquées connues pour pratiquer l’électronarcose et être géré par des vendus au système n’ayant aucune gêne à produire des chartes et des prêches remplis de mécréance. Peut-on vraiment parler de « halal » ?

 
 
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